Les causes d’un manque de vitamine D sont diverses : faible ensoleillement, aliments inadaptés… Pour face à ce manque, il existe des compléments alimentaires.
Le soleil, meilleur allié de la vitamine D !
Le soleil, un acteur clé
Micronutriment essentiel, contribuant notamment au bon fonctionnement du système immunitaire et au maintien d’une bonne santé osseuse, la vitamine D est l’une des rares vitamines synthétisables par l’organisme.
A l’origine de cette synthèse : le soleil et plus précisément les rayons UVB. Ces rayons permettent, au niveau de la peau, la formation de pré-vitamine D3 qui est dans un second temps transformée en vitamine D3. Elle sera ensuite stockée ou utilisée en fonction des besoins de l’organisme.
Une synthèse cutanée variable tout au long de l'année
La synthèse cutanée de vitamine D étant soumise à l’action du soleil, elle varie au cours de l’année et est plus importante en été : 80% de la vitamine D dont nous avons besoin est synthétisé par l’organisme ; seul 20% provient de l’alimentation. Toutefois, même en période estivale, il peut être difficile de répondre aux besoins de l’organisme : un ensoleillement faible (dû à des conditions météorologiques défavorables), une exposition peu fréquente ou encore la pollution s’ajoutent à des apports alimentaires souvent insuffisants.
L'hiver, une période particulièrement sensible
En hiver, l’ensoleillement est plus faible et l’angle de pénétration des rayons solaires est incliné, traversant par conséquent plus d’atmosphère. Ainsi filtrés, les rayons UVB ne peuvent pas induire la synthèse cutanée de vitamine D, qui est quasi nulle durant cette période.
La seule source de vitamine D est alors l’alimentation, qui peut difficilement compenser l’absence de synthèse cutanée. Cela a été mis en évidence par l’Etude nationale nutrition santé réalisée en 2006-2007*, qui montre que 80% des adultes français présentent une insuffisance en vitamine D. Il est alors important de penser à une complémentation.
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* Bulletin épidémiologique hebdomadaire de l’Institut de Veille Sanitaire du 24 avril 2012 (n°16-17)